Hi Folks !
C'est le drame Goldorak est mort ! La preuve en image & son !
Ce clip est excellent ! Sur la musique des "Fatals Picards", une petite mise en scène due à un fan.
Yeh Groovy Baby !
Ressortir la supercard ?
Il y a 2 jours
Une auberge espagnole à la mode geek, parce que les geeks ne pensent pas uniquement à l'informatique et qu'ils peuvent eux aussi être "Groovy" (Yeh Baby !)... et parce que l'on peut être sérieux, sans se prendre au sérieux !
Le succès à des milliers de pères mais l'échec est orphelin.Si comme l'écrivait Crébillon père
Le succès fut toujours un enfant de l'audace.il est particulièrement vrai qu'en cas de succès, ils sont nombreux à vouloir s'en arroger la responsabilité mais que pour les échecs le jeu consiste plutôt à chercher au plus vite un bouc-émissaire. Nous avons tous j'imagine de très nombreux exemples en mémoire pour illustrer ceci.
If you can keep your head when all about youVoici la version française due à André Maurois
Are losing theirs and blaming it on you,
If you can trust yourself when all men doubt you,
But make allowance for their doubting too;
If you can wait and not be tired by waiting,
Or being lied about, don't deal in lies,
Or being hated, don't give way to hating,
And yet don't look too good, nor talk too wise:
If you can dream - and not make dreams your master;
If you can think - and not make thoughts your aim;
If you can meet with Triumph and Disaster
And treat those two impostors just the same;
If you can bear to hear the truth you've spoken
Twisted by knaves to make a trap for fools,
Or watch the things you gave your life to, broken,
And stoop and build 'em up with worn-out tools:
If you can make one heap of all your winnings
And risk it on one turn of pitch-and-toss,
And lose, and start again at your beginnings
And never breathe a word about your loss;
If you can force your heart and nerve and sinew
To serve your turn long after they are gone,
And so hold on when there is nothing in you
Except the Will which says to them: 'Hold on!'
If you can talk with crowds and keep your virtue,
' Or walk with Kings - nor lose the common touch,
if neither foes nor loving friends can hurt you,
If all men count with you, but none too much;
If you can fill the unforgiving minute
With sixty seconds' worth of distance run,
Yours is the Earth and everything that's in it,
And - which is more - you'll be a Man, my son!
Si tu peux voir détruit l'ouvrage de ta vieAmi(e)(s) Lec(teur|trice)(s) de ce blog, vous connaissez mon penchant immodéré pour la parodie... je ne pouvez donc achever ce billet sans vous faire part de cette petite parodie de ce dernier poème que j'ai trouvé ici et que je reproduis ci-après.
Et, sans dire un seul mot te remettre à bâtir
Ou perdre d'un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir.
Si tu peux être amant sans être fou d'amour,
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre,
et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre.
Si tu peux supporter d'entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter les sôts,
Et d'entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d'un mot.
Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois
Et si tu peux aimer tous tes amis en frères
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi.
Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,
Rêver, sans laisser ton rêve être ton maître
Penser, sans n'être qu'un penseur.
Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu peux être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant.
Si tu peux rencontrer triomphe après défaite
Et recevoir ces deux menteurs d'un même front.
Si tu peux conserver ton courage et ta tête,
Quand tous les autres la perdront.
Alors, les rois, les dieux, la chance et la victoire
Seront à tout jamais tes esclaves soumis,
Et, ce qui vaut mieux que les rois et la gloire,
Tu seras un homme, mon fils.
Si tu peux...Je trouve cela assez excellent et - commun dire - à la fois pertinent et impertinent ! :-)
Si tu peux commencer ta journée sans caféine,
Si tu peux la terminer sans sédatif pour dormir,
Si tu peux être de bonne humeur, sachant ignorer tes maux et tes douleurs,
Si tu peux ne jamais te plaindre et ennuyer les autres avec tes problèmes,
Si tu peux comprendre quand ceux qui t’aiment sont trop occupés pour te donner de leur temps,
Si tu peux accepter qu’on te blâme pour une faute non commise,
Si tu peux croire qu’on prendra soin de toi jusqu’à la fin de ta vie,
Si tu peux accepter toutes les critiques sans jamais te rebiffer,
Si tu peux endurer la grossièreté de certaines gens sans jamais les corriger,
Si tu peux faire face à la vie sans jamais mentir ou décevoir,
Si tu peux te détendre sans jamais prendre une goutte d’alcool,
Si tu peux dire très honnêtement, du plus profond de ton cœur, que tu n’as aucun préjugé contre les gens âgés, les différentes races, les religions ou les identités sexuelles,
Si tu peux manger la même nourriture chaque jour et en être heureux,
Si tu peux aimer sans condition sans rien attendre en retour...
Hé bien, mon ami, tu es PRESQUE aussi parfait que ton CHIEN.
Nous sommes dans un couloir.
Des gens tournent un peu partout dans tous les sens, vêtus de blouses blanches, une souris et son cordon autour du cou. Sous la blouse, un t-shirt, un jean, et des baskets.
C'est le service des urgences informatiques.
Au milieu du couloir, un bureau d'accueil. Une fille s'y tient, Katie.
Un jeune homme arrive, avec une cravate.
- Bonjour, dit-il, un peu timide.
- Bonjour, répond Katie, qu'est ce que je peux faire pour vous ?
- Je m'appelle Laurent Stricher, je suis étudiant et je viens faire mon stage aux urgences.
- Ah, vous devez être le nouvel étudiant de l'Ingénieur Rigaut. Je vais vous l'appeler. Ingénieur Gillot, dit-elle en interpellant un homme qui passe.
- Oui, Katie ? Bonjour, dit-il au jeune homme.
- Ingénieur, je vous présente Laurent Stricher, c'est le nouvel étudiant de l'ingénieur Rigaut.
- Bienvenu aux urgences. Je suis l'ingénieur Gillot. Je suis le responsable de ce service.
Je vais te le présenter rapidement, et on va chercher l'ingénieur Rigaut. Je crois qu'il est en train de débugger un vieux SUN qui perd de la mémoire.
Stricher écoute, en suivant Gillot, étonné par la rapidité de la parole et de la marche. Gillot continue sa présentation, tout en lui posant quelques questions.
- Tu es en quelle année d'École ?
- Première.
- Tu sais faire quoi ?
- J'ai déjà fait un stage dans un magasin Auchan au rayon informatique, et j'ai suivi un cours de LOGO.
- Bien. Ici, on est aux urgences, il faut travailler vite et bien, et souvent sur des situations désespérées. Parfois on arrive à rattraper les coups, et des fois on perds des process. C'est dur, mais c'est la vie. Tu es sujet au stress ?
Ici, c'est la salle PERIPH 1. C'est là qu'on travaille sur les périphériques. Là tu as DB 1 et 2, pour le début, et la c'est HARD 1, la salle ou on fait le gros boulot hardware.
Ici, la salle de repos. Prends en dès que tu le peux, parce que tu ne sais pas quand tu pourras le faire plus tard, si tu le peux.
Là, c'est la salle d'analyse. Tu t'es déjà servi de top ?
- Non.
- C'est pas grave, tu apprendras vite.
- L'Ingénieur Rigaut, ton superviseur, est un spécialiste du traitement des systèmes, d'Internet et de Java. Tu vas beaucoup apprendre avec lui. Le voilà qui a fini. Benoît, je te présente ton nouvel étudiant, Laurent Stricher.
- Salut Stricher, moi, c'est Rigaut. Tu as ta souris ?
Du fond du couloir, on entend Katie crier :
- On a le support qui nous amène un HP en "Fatal Error" !!
- Stricher, suis moi !
Ils se ruent vers l'entrée. Deux personnes ouvrent les portes a double battant avec un chariot qu'ils poussent sur lequel se trouve une station HP.
- Qu'est-ce qu'on a ? demande Rigaut, en prenant le chariot.
- C'est une station toute neuve, elle était sous pine, et elle a fait une "fatal error". Elle perd beaucoup de mémoire, et son xload est à 78% filant.
- Vous avez DB 2, crie Katie du bout du couloir.
- Vous lui avez fait quoi ? demande Rigaut.
- Shutdown réseau, plus kill -15 de tous les programmes non vitaux.
Ils sont déjà dans la salle. Ils glissent le chariot à coté de la table qui trône au milieu, les murs étant recouverts d'étagères de disquettes, et de périphériques.
Tout le monde est autour de la machine. Rigaut, qui mène la marche, ordonne :
- A trois on soulève. Un, Un Zéro, Un Un, hummmpf. C'est bon, merci les gars.
Ceux du support s'en vont, il reste Rigaut et Stricher autour de la table, plus deux techniciens. Tout en donnant des ordres, Rigaut enlève sa souris du cou et essaye de la connecter.
- Je veux AFS, vous me montez le disque de debug - top et sun standard. Putain, il est où ce port souris ? N'aie pas peur petite station, on va te sortir de là.
Un technicien : - On a un xload a 99% !
Rigaut : - On reboote soft. BIIIP !!!
Le Technicien : - Il revient à 99%, et le swap diminue dangereusement !
Rigaut : - On reboote encore. BIIIP !!!
Rigaut : - Putain, ça marche pas, on reboote hard. BIIIP !!!
Le Technicien : - Il se stabilise, et on a récupère le swap.
Rigaut : - OK, il est tiré d'affaire, on lui lance xeyes, et puis Netscape, en 2.0b3, et on le laisse sous xcpustate.
Il reprend sa souris, sort, suivi de Stricher.
Katie est là:
- On a un vieux Mac qui veut plus monter son disque en HARD 2, et une laser en carence papier en PERIPH 1.
Rigaut : - Stricher, tu t'occupes de l'imprimante, puis tu me rejoins en HARD 2 .
Stricher ne sait plus trop où il en est. Tout va si vite. Du fond du couloir, l'ingénieur Rigaut qui le voit plante, lui crie :
- Stricher, en PERIPH 1, la deuxième porte a gauche ! Katie, allez aider cet empoté !
Katie vient a la rescousse. Ils rentrent ensemble dans la salle.
- Tu as déjà rempli le chargeur d'une imprimante ? demande Katie.
- Ben non.
- Tu vas voir, c'est facile. Tu prends le bac là. Tu tires un coup sec.
N'aie pas peur, tu ne lui fais pas mal. Voilà. Tu l'ouvres délicatement.
Tu prends des feuilles, tu remplis mais pas trop. OK, doucement.
Maintenant, tu refermes et tu renfonces le chargeur. Là. Impeccable.
Stricher, tout heureux, regarde l'imprimante. Pendant ce temps la, le visage de Katie se crispe.
- Y a un truc qui va pas, souffle-t-elle, elle ne repart pas.
- C'est quoi ce voyant rouge ? demande l'étudiant.
- Merde, on est en bourrage papier ! Il va falloir l'ouvrir ! Je le fais, regarde bien.
Elle appuie sur le bouton, ouvre délicatement l'ensemble.
- Tu vois, il faut enlever doucement la feuille, sans risquer de la déchirer, et il faut faire gaffe là, parce que d'un coté c'est les organes vitaux, et de l'autre, c'est très chaud. Normalement, on aurait du lui couper le jus avant d'ouvrir, mais on prend le risque d'un accident de Toner. Voilà, c'est bon, referme.
A peine refermée, l'imprimante repart, sortant une belle page de garde. Katie la montre fièrement à Stricher. Elle se rend compte qu'il est tout pâle.
- C'est la première fois que tu ouvres une imprimante laser ?
- Oui. C'est impressionnant.
- T'en fais pas. Ça nous a tous fait ça, tu vas t'habituer. Allez, souffle un coup, et va rejoindre l'ingénieur Rigaut.
Stricher sort doucement de la salle. Il se dirige vers la salle HARD2. Là, l'ingénieur Rigaut et un technicien s'affairent autour de la boite d'un disque posé sur l'établi central. Des câbles pendent de la table, sans vie.
- Alors, ça y est, t'es là. Il t'a fallu tout ce temps pour remplir le chargeur ? lui demande Rigaut.
- L'imprimante était aussi en bourrage papier ! Il a fallu l'ouvrir.
- Je suis sûr qu'il nous a fait un petit malaise, dit il en souriant au technicien. Regarde comme il est pâle !
Ils éclatent de rire. Mais Rigaut, tout en cliquant à droite et à gauche sur l'écran d'un Mac qui est connecté au disque, continue :
- Bon, alors on nous a emmène un vieux disque SCSI qui refusait de se monter sur son Mac. D'après toi, qu'est ce qu'il faut faire ?
- Demander les antécédents ?
- Bien. On a déjà dû le reformater deux fois au début de sa vie.
Classique. Alors ?
- Je sais pas. Vérifier le numéro SCSI.
- C'est fait, ça colle.
- Regarder du coté du Mac. C'est peut être lui qui déconne ?
- Bravo Stricher, grâce a toi, on aurait perdu un disque.
Dans notre métier, il faut diagnostiquer vite et bien. Pour les disques, il faut toujours faire une recherche du taux de fragmentation. Il était a 98%. On n'est pas passé loin. Mais on nous l'a amène a temps, on est en train de le défragmenter. Regarde, et ne te trouve pas mal !
Rigaut et le technicien éclatent a nouveau de rire, tandis que Stricher s'approche de l'écran.
- Tu sais, lui dit Rigaut, y a Gillot en HARD 1 qui opère un vieux 86, tu devrais aller voir. C'est long une défragmentation, tu n'as plus rien à apprendre ici.
Stricher passe dans la salle voisine. Une fois de plus, un bloc métallique, relié à une tonne de câbles pendants, est au milieu de la pièce. Gillot s'y affaire dessus, aidé par un technicien.
- Qu'est ce qui se passe ? demande le stagiaire.
- On a un type qui a voulu installer Windows 95 sur son 286. N'importe quoi ! Le pauvre, il n'avait que 50 Méga de Dur et 2 de RAM, il a complètement explosé. On va le perdre. On n'arrive même plus à rebooter.
Le technicien l'interrompt : J'ai perdu la souris !
- Bon, on va l'ouvrir , répond l'ingénieur, On va tenter de lui greffer un stimulateur d'horloge externe pour lui freiner le CPU. Karl, vas-y, dévisse le capot. Aide-le, Stricher.
- Mais ça vous servira à quoi ? demande l'étudiant.
- C'est quasi désespèré, lui répond Gillot, mais si on arrive a le stimuler sur une horloge externe, on peut ralentir le CPU, et trapper une interruption système. Là on peut arrêter le CPU sans dommage, nettoyer le disque, remettre le DOS, et puis relancer doucement la bécane, qui repartira sans se rendre compte de rien. Stricher, prends la sonde de l'oscillo, et monitore-moi la clock.
- C'est bon, je vous ai dégage le quartz ! annonce Karl.
- Fer à souder , demande l'ingénieur. J'espère qu'il va tenir...
- Court Circuit !!!! crie le technicien. Le processeur est grillé !
- Merde, jure Gillot, mais on a fait ce qu'on pouvait. Karl, l'alim a l'air en bon état. Appelle le propriétaire et demande lui l'autorisation de la prélever. Ça peut sauver un vieux PC en attente de greffe.
Stricher, tétanisé, ne dit plus rien.
- Bon, allez, ce début de journée a été éprouvant, va souffler un peu Stricher, lui conseille l'ingénieur.
Stricher, qui n'en peut effectivement plus, sort quelques minutes du service et va prendre l'air. Il s'assoit sur les marches, et pose sa tête dans ses mains. Il n'entend même pas arriver l'Ingénieur Gillot.
- Alors Stricher, ça va ?
- Bof.
- Pas évident, hein ?
- Disons que ce matin, je viens de voir un PC claquer devant mes yeux, je me suis senti mal quand il a fallu ouvrir une imprimante en bourrage papier, et si j'avais appliqué mon diagnostic au disque SCSI que traitait l'ingénieur Rigaut, je l'aurais fusillé... Je ne sais pas si je suis fait pour ce métier. [ silence ]
- Stricher, on est tous passé par là, c'est le début. Tu dois apprendre. Tu vas apprendre. Ne te décourage pas. Il lui tape amicalement sur l'épaule, et repart vers le service.
Stricher l'entend a présent s'éloigner.
A peine Gillot a-t-il passe la porte qu'il se retourne et crie au jeune homme:
- Stricher, magne-toi, on a une attaque virus sur un cluster avec risque de contamination à tout Internet. On a besoin de toi !
Stricher se précipite derrière l'ingénieur. Ils rentrent en en DB 2. Rigaut a déjà sa souris connectée à une console.
- Grouillez-vous, lance-t-il, prenez chacun une console. J'ai déjà reconfiguré le router qui relie le cluster a Internet. On a évité la contamination. Mais j'ai laissé des access pour nous. Stricher, tu es chargé de la machine er.nbc.com.
Stricher bredouill : Mais je fais quoi ?
- Ping, Telnet et login root. Le mot de passe est IloveUnix . Sans espaces.
15 secondes après, Stricher exulte : Ça y est, j'ai fait AFS et top.
Y a un process bizarre qui a un xload a 10%. Il s'appelle 'Fool' .
- Bien joue Stricher, dit Rigaut, tu as identifié le virus. Allez débarrassons nous de lui. Alors tu ...
- Merde, le coupe Stricher, il s'attaque à un process qui va forker !
- Kill-9, lui crie Gillot. Et si tu peux pas sauver les deux process, sauve le fils !
Un silence s'installe, seulement interrompu par les clics des souris et le bruit des touches des claviers. Soudain, Stricher crie :
- Ça y est, je l'ai viré. Et j'ai sauvé les deux process !
- Moi aussi, je l'ai viré, dit Gillot. Et toi Benoît ?
- OK, c'est bon aussi. On a réussi. Bon travail Stricher, ça vaut bien un café.
Ensemble, ils récupèrent leurs souris, les remettent autour du cou.
Stricher, Gillot et Rigaut sortent de la salle, et se dirigent vers le distributeur. En buvant son café, Gillot, médite tout haut :
- C'est quand même dégueulasse ces virus qui s'attaquent a des process en train de forker... Rigaut approuve d'un Mouais qui en dit long.
- ... Mais quand même, t'as réussi a les sauver, Stricher, le père et le fils. Chapeau ... Stricher ? Stricher ????
Mais Stricher est ailleurs. Le nez dans son café, il a les yeux qui brillent. Finalement, c'est pas si mal comme boulot.